2 ème Transalporizon Oberrüti (CH) - Pelvoux (F), 29 Juillet- 2 Août 2006 :
Par SuperV
Au vu du bel enthousiasme provoqué par la première édition et ce malgré le mauvais temps rencontré en 2005, l’Iseran raté et la difficulté du parcours, la seconde édition s’est imposée d’elle même comme une évidence. Dès le début de saison il n’y avait pas moins de 9 intéressés, soit à peu près tous ceux de Vélorizon qui possèdent un vélo de route. Une fois le programme établi et surtout rallongé pour faire cette fois le porte à porte Oberrüti-Pelvoux, personne ne s’est désisté, même après lecture du profil des étapes. Au programme donc, 5 journées : les deux premières pas trop difficiles pour se mettre dans le rythme avant les morceaux de choix constitués par les étapes 3, 4 et 5. Au total environ 600 km et beaucoup de dénivelé (approximativement 10'000 mètres) avec les passages des cols du Schallenberg, Pillon, La Croix, Grand St Bernard, Petit St Bernard, Iseran, Télégraphe et Galibier.
Deux voitures nous accompagnent (Constanze nous suivra 2 jours puis s’en retournera pour éviter au bébé des problèmes liés à l’altitude) avec au volant Odile, Doudou et une copilote en la personne de Barbara. 2 VTT sont embarqués, ces dames espérant bien faire en alternance quelques cols de-ci de-là.
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Jour 1 : Oberrüti-Thun
Pas trop de km au programme en ce Samedi en raison du départ tardif prévu. L’objectif est de s’échauffer et de juger de l’état de forme du groupe et des capacités à chacun de suivre. D’abord ce sont beaucoup de petites routes pour rejoindre la vallée du « Entlebuch » où pas mal de pistes cyclables nous permettent de rouler sans gêne. Heureusement, le vent souffle dans la bonne direction. Ensuite on attaque la difficulté du jour, le Schallenberg dont seuls les 2 derniers km à 8% sont assez difficiles. Un petit Coca au sommet et c’est parti pour la descente vers Thun; 20 km bien agréables, rapides et heureusement sans pluie. Celle-ci nous rattrape néanmoins dans Thun mais nous rejoignons notre hôtel à Hunibach sans encombre. Baignade au lac, µ et un petit Spaghetti « Plauch » terminent cette première journée. Mention spéciale pour l’accueil à l’hotel Chartreuse www.chartreuse.ch et la flexibilité des tenanciers, très bien.
Bilan du jour : 102.5 km en 4h09 soit une moyenne de 24,7 km/heure pour un dénivelé autour des 800 mètres. Rien de particulier à signaler sauf que Didier n’a pas pu se joindre à nous en ce jour préférant rester au coté de sa compagne malade.
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Jour 2 : Thun-Martigny
Aujourd’hui en principe ça se corse, c’est nettement plus long et il y a 2 cols au programme. Il s’agit de la vraie entrée en matière avant les grands cols. Bonne nouvelle, Didier nous a rejoint ce matin, ce qui veut aussi dire que Delphine va mieux (pas évident sur sa petite mine, car elle est aussi présente à Thun). Le temps est beau, le paysage superbe, les nouveaux maillots MAYA

sont de sortie; que demander de plus? Le parcours est tout en faux plat montant jusqu’à Saanen, ensuite il y a une belle descente vers Saanenmoser pour arriver à Gstaad où nous rejoignons les voitures pour le pic-nic à l’ombre, car il fait chaud. µ
Après cette petit halte salutaire, Doudou et Babie sortent les VTT pour aller faire un tour vers le lac d’Arnesen µpendant qu’Odile et Constanze gardent Nicolas et Amélie.
De notre côté, nous attaquons le Col du Pillon qui est moyennement plaisant. D’abord en faux plat qui s’accentue sans crier gare et qui fait mal aux jambes. De longues lignes droites interminables pour finir par un raidard qu’on voit de loin. Je crois que personne n’a vraiment apprécié, surtout pas Didier qui est fatigué et à qui il manque le rythme du premier jour. La très, trop courte descente nous amène aux Diablerets pour une séance Coca avant l’attaque du second col du jour. Le Col de la Croix. Seulement 8 km, mais d’entrée c’est soutenu et continu entre 6 et 9%. Il fait chaud et nous avons déjà fait plus de 80 km. Le rythme est difficile à trouver pour certains. Chacun se réserve, se jauge pour les grands cols à venir. Petite photo au sommet, et hop c’est parti vers Villars puis Bex pour 20 km de belle descente. Ensuite il reste 22 km vers Martigny avec le vent dans le dos. Certains ne peuvent résister à « tirer », pendant que derrière on tire… la langue. Pas grave, nous y sommes pour aujourd’hui. Néanmoins un petit rappel à l’ordre est le bienvenu pour tous. Restons solidaires, et nous arriverons au bout sans souffrir en profitant du paysage. Bref, se faire plaisir est le mot d’ordre de cette randonnée.
On résume : 141 km en 5h55 soit 24 km/h de moyenne, pas mal pour une étape assez longue avec 2 cols et 1300m environ de dénivelé. Une certaine hiérarchie, d’ailleurs sans grande importance, s’établi. On retrouve toujours les mêmes en premier en haut des cols. De même en descente ce sont toujours les mêmes devant mais pas les mêmes qu’en montée (vous me suivez j’espère).
Fin de soirée un peu en bémol. Service très lent, chaleur dans les chambres et emplacement de l’hôtel bruyant. Juré on revoit ça pour la prochaine (j’ai déjà un plan…pourri du style ça monte 5 km pour aller à l’hôtel etc, etc...).
Repos, vite vite du repos, demain c’est la GRANDE étape !
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Jour 3 : Martigny – La Rosière
Aujourd’hui c’est la grosse étape. Ceux de la première édition le savent ; il faudra s’économiser tout en évitant d’arriver trop tard. Pour les nouveaux, c’est un peu l’inconnue ; longue distance et deux cols dont un gros morceau, le Grand St Bernard long et très difficile sur les 7 derniers kilomètres. La nuit a été chaude et bruyante, pas idéal. Le temps est un peu orageux, pourvu que ça tienne. Nico à un peu le « spleen » ce matin; il faut dire qu’il doit laisser sa fille et sa femme qui s’en retournent chez elles ce matin. C’est beaucoup pour un seul homme. En plus, il "doit " changer la K7 de sa roue pour un développement plus… montagne (comme s’il en avait besoin..). Bref, avec les photos µ et les bisous nous n’arrivons pas à nous extraire alors qu’il faudrait partir et ne pas perdre de temps. A 9 c’est dur, mais bon après multiples rappel à l’ordre ça démarre doucement, comme prévu. En direction du tunnel dès les premières rampes 2 groupes se forment. Devant ceux qui se sentent bien ce matin, derrière les prudents, et c’est bien comme ça. La montée est longue et pas très intéressante voir un peu angoissante dans les paravalanches, mais il faut faire avec. A l’embranchement tunnel/col parmi le groupe des ouvreurs, l’idée générale est de faire juste une petite pause en évitant de se refroidir, bien que le temps soit beau, et de filer vers le col pour la pause de midi où sont garées les voitures. Sur ces derniers 7 km il est préférable de rouler chacun à son rythme, c’est mieux pour tous. Le deuxième groupe n’est pas très loin, il n’y pas de soucis. A peine parti, voilà Doudou et Babie qui arrivent du col en VTT pour y remonter. Elles vont rejoindre le second groupe µ pendant que Odile fait voir les chiens à p’tit Nico. Après une courte attente au sommet la troupe est reconstituée. Les filles sont montées super à l’aise mais tout le monde confirme que la montée est difficile, mais heureusement assez courte. On mange ici ou plus bas, bla bla bla, il y a du pour et du contre, le ciel se couvre etc.. Bref c’est ici et pas ailleurs, on fera vite juré. Hop hop on attaque la toujours aussi belle descente; rendez-vous pour un "expresso"en Italie. Les filles arrivent pour payer l’addition pendant que nous prenons la fuite devant la pluie qui arrive du sommet. C’est très très juste ; nous arrivons à Aoste en étant à peine humides µ. En direction de Courmayeur le ciel s’ouvre à nouveau et le vent est favorable. Chouette, car ces 30 km sont tout en faux plat, pas super. Après quelques ajustements, nous trouvons finalement la solution pour que tous roulent sans trop se fatiguer et se dépouiller en vue du second col du jour. Pas simple de faire un tempo ni trop lent ni trop rapide ; merci DOM…bien joué.
Arrêt Coca super mérité (à 4 euros le Coca nous prenons le temps de le déguster…). L’inquiétude est sur certains visages, déjà plus de 100 bornes et il reste 23 km de montée! Soulagement pour d’autres qui sont contents d’en avoir terminé avec ce faux plat. L’arrêt assez long est salutaire, ça roule bien en direction de la Thuile, sauf que la pluie fait une courte apparition et fait sauter le groupe, certains préférant ne pas attendre, d’autres comptant sur une acalmie. A part Dom qui préfère filer (le filou) nous nous regroupons comme prévu à la Thuile. Un petit coup de fil aux filles, une voiture nous apportera des habits chauds au sommet, c’est bon ! Ça repart au début en groupe puis chacun prend son rythme pour finir soit en duo soit seul. A noter la belle entraide fils-père chez les Richerdt, sympa ! µµ
Au sommet après une courte attente, on se regroupe pour une belle photo, les filles sont là, Babie et odile en VTT, Doudou, Nicolas et les habits en voiture, Méga !
Odile nous fait admirer ses qualités de descendeuse jusqu’à la Rosière. Heureusement que je lui ai mis les boules avec l’histoire des "slicks" sinon on ne la revoyait pas avant l’hôtel.
Après une bonne douche tous se retrouvent à l’apéro pour une bière bien méritée et un bon repas en se repassant le film de cette dure mais belle journée en ayant bien conscience que la plus grosse étape est dernière nous. Ouf ! toujours ça de fait !
Tout de même 139 km en 7h00 soit 19,5 km/h de moyenne pour un sacré dénivelé: environ 3300 mètres. Bravo messieurs ! Merci aux dames pour l'assistance au petits oignons !
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Jour 4 : La Rosière-Aussois
La nuit a été bonne car très tranquille ici à 1800 m d’altitude et ce malgré les prévisions incertaines données par l’hôtelier. Effectivement au réveil on n’y voit rien, brouillard total. Il ne pleut pas et les optimistes voient déjà le soleil arriver. En théorie aujourd’hui c’est plus facile avec seulement 95 km et un seul col, l’Iseran tout de même et une inconnue, puisqu’en 2005 la pluie nous avait forcé à stopper à Val d’Isère et donc personne d’entre nous ne l'a fait. Prudence de rigueur donc.
Encore une fois il est difficile de mobiliser les troupes pour partir à l’heure (demain nous mettons une nouvelle stratégie en place…). Départ dans le brouillard µ pour une descente prudente par les petites routes vers St Foy Tarantaise. Le ciel s’ouvre de-ci de-là, c’est tout bon. Les 12 km de montée vers le barrage sont peu intéressants, on en profite pour discuter avec des gars de Morteau et un Allemand, tous en route vers le col ; ça fait passer le temps. Après le barrage c’est l’horreur, les travaux dans les tunnels ne sont pas terminés, on n’y voit rien. Le Philou est à deux doigts de se faire ramasser par un camion. Ca ira mieux après Val d’Isère où les accompagnatrices nous rejoignent. Deux temps, trois mouvements, Babie sort le VTT et nous accompagne vers le sommet. En sortant de Val d’Isere la vision de la route tout en haut n’est pas très encourageante, néanmoins la montée est très agréable, chaque km est parfaitement marqué avec sa pente moyenne. Sympa car il est facile de se régler sur ces indications. Chacun se fait son petit plaisir à son rythme µ µ µ µ µ µ µ µ µ µ µ . Seul le vent, lorsqu’il est contraire est à la fois violent et froid. Vers le sommet, c’est pire, l’avant dernière ligne droite est un calvaire, un vrai mur de vent alors que dans la dernière il est inutile de pédaler. Petit et bref regroupement au sommet en différents groupes, petite photo. Odile et Doudou distribuent à peu près tous les habits se trouvant dans les voitures ; on mangera à Bonneval sur Arc en bas de la descente. µ µ µ µ µµµ C’est parti pour une formidable, longue et magnifique descente dans un cadre superbe. Chacun se pense en lui même : j’aimerais pas monter de ce coté tellement c’est raide !!!
Arrêt repas à Bonneval ; en 10-15’ tous sont là, y compris Babie qui a fait la descente ; même Erich n’en croit pas ses yeux…
Nous avons bien du mal à nous réchauffer, le grand café nous y aidera un peu. µ µ
Bon c’est pas tout ça, il reste 50 bornes, dont 40 en descente, d'accord, mais avec le vent de face, c'est pas terrible. Derrière ça décroche à la moindre remontée. Après Termignon et ça tout le monde le savait, on remonte vers l’inconnu pour rejoindre notre Hôtel à Aussois avec la promesse d’être au calme. Et ça remonte vraiment, contre le vent, sur quelques km avant de déboucher sur Aussois après un sprint final, histoire de faire la nique à Nico. Moyen moyen le sprint (on se contente de peu ! un peu foireux le plan), tout le monde est tout de même fatigué.
Nous découvrons Aussois, petite station sympa et tranquille et notre hôtel bien aménagé. Comme il est tôt on en profite chacun à sa manière, Odile et Doudou pour un petit tour VTT, d’autres pour un tour au village, enfin certains profitent du Sauna et de la baignoire balnéo pour se refaire une petite santé.
Je vous dit tout de même un mot du repas : vraiment excellent, super bon !
Encore une bien belle journée derrière nous; juste 100 km en 4h50 soit 21 km/h de moyenne pour un dénivelé de environ 2000 m tout de même, la routine quoi.
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Jour 5 : Aussois – Pelvoux
Ce matin après un bon petit déjeuner, tout le monde est finalement à l’heure, il faut dire que nous avons piégé le Nico en lui indiquant un départ ¼ d’heure plus tôt qu’au reste du groupe. Ça marche… (sans rancune Nico). Il n’y a pas de problème ce matin il fait grand beau, néanmoins pour pouvoir tenir un semblant d’organisation et que nos accompagnatrices puissent profiter de la journée, il nous faut partir à l’heure quitte à traîner en route plutôt que de devoir speeder.
Le vent est toujours dans la mauvaise direction mais ça descend vers St Michel. Tous sont impatients d’attaquer la grosse difficulté du jour et de la rando, le tandem Télégraphe-Galibier, l’approche n’est donc pas passionnante. En arrivant à St Michel la vision du fort du Télégraphe très loin en haut et qui marque le sommet du col nous laisse pensifs. C’est aussi ici, qu’un pote à Roland nous rejoint pour faire le col avec nous, sympa ; sauf qu’il est tout frais et nous fait cela les doigts dans le nez ! Sans grand problème et en petit duos, le col est atteint, les écarts sont minimes. La synchro est parfaite car les filles sont en même temps au col ce qui permet un petit ravitaillement. Après un court arrêt, µ nous filons vers Valloire puis l’attaque du col en ordre très dispersé. Plus tard je réalise qu’il y avait sans doute une petite angoisse avant d’attaquer ce col mythique et de savoir si ça allait passer facile ou si ce serait galère. C’est pourquoi chacun est parti plus ou moins seul, tranquille et discrètement. Même Erich qu’on attendait derrière alors qu’il était déjà devant ; donc impossible à rattraper. Il faut dire que par rapport à 2005 où nous étions montés dans le brouillard, cette fois on voit bien la pente et ce qu’il reste à faire. En 2005 nous avions un jour de moins et surtout nous n’avions pas fait l’Iseran la veille, c’est sûr, ça compte!
Comme déjà vérifié en 2005, jusqu’à Plan Lachat ça va, ça grimpe mais pas trop, ensuite c’est très dur sur 1 km, puis très très soutenu sur les 5-6 km suivants, vraiment dur, heureusement que la paysage est somptueux. Loin loin en haut, on voit le sommet. La pente s’adoucit ensuite avant d’atteindre le tunnel ; puis le dernier km est vraiment épuisant physiquement car très pentu mais aussi parce que dans la tête c’est la fin. Le paysage est magnifique, la Meije et les Ecrins au loin, superbe. La température est agréable et nous permet d’attendre le reste du groupe qui d’ailleurs n’est pas bien loin. Ce fut difficile mais les sourires sont sur toutes les lèvres. Les filles sont contentes aussi, elles ont fait le col dans l’autre sens depuis le Lautaret et s’offrent en prime une descente VTT sympa. Pic nic et mini sieste µ µ au Lautaret nous permettent de nous réchauffer et de nous restaurer avant de foncer vers Briançon, Pelvoux et le Grand Paradis.
Foncer est un doux euphémisme, car entre vent dans le dos et euphorie devant ; ça déménage sérieux !! Certains annoncent presque 80 km/h à Serre Chevalier !!! Ne le dites pas à nos femmes ! Regroupement, puis via Briançon, Prelles et Vallouise nous voici enfin au Grand Paradis après 118 km couverts en 5h15 soit à 22 km de moyenne pour un dénivelé supérieur à 2000 mètres.
La journée se termine par un p'tit apéro, après avoir accueillit les épouses et compagnes, et monté les tentes pour la nuit. Et oui le Paradis est grand mais tout de même trop petit pour y accueillir tout le monde. A moins que certains aient des choses à se reprocher pour pouvoir y rentrer…. (blague à 2 balles)
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Epilogue :
Après un bon repas au resto du coin (chez les Alsaciens...), une bonne nuit au calme et un bon petit déjeuner, c’est l’heure du repos d’abord, de la visite du marché de Vallouise et de ses bons produits locaux ensuite. Finalement assez tard on se décide pour une ballade au glacier blanc qui sera très sympa, la plupart ne connaissant pas du tout le coin.µ µ
Le dernier jour est déjà celui du retour pour la famille Richerdt, alors que les familles Romani-Landmann en profitent pour visiter les classiques St Veran, Briançon et sa Gargouille en passant par le col de l ‘Izoard, plus facile en voiture qu’à vélo mais toujours magnifique. Le reste de la troupe s’offre un petit tour de VTT sur Puy St Vincent histoire de se mettre l’eau à la bouche, car ici le VTT c’est simplement génial.
Finalement, en tant qu’organisateur, je voudrais remercier tous les participants : les cyclistes et les accompagnatrices d’abord, pour la super bonne humeur pendant toute cette semaine, la solidarité, ponctualité, excellente préparation physique et enthousiasme. J’ai vraiment apprécié, sincèrement.
Merci ensuite aux fidèles sponsors pour le beau T-shirt « chasseur de col » qui colle si bien à cette rando. Bien sympathique attention.
Merci aux compagnes non accompagnatrices pour avoir transporté les cyclistes vers le point de départ et pour le retour. Ici aussi la bonne humeur était de mise et faisait plaisir à voir.
Avec Doudou nous espérons vous avoir fait découvrir cette région que nos apprécions tant et vous y revoir un de ces jours. Il y a encore tellement à voir et à faire. A lire certains commentaires dans notre modeste Livre d ‘Or du Grand Paradis, j’ai cru comprendre qu’il pourrait y avoir une 3 ème édition.
Inutile de dire que ce serait avec grand plaisir !
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